Mise à jour du 22 août 2012: Les meurtriers ont été arrêté et ont révélé comment ils s'y sont pris pour tuer leur victime. Vous pouvez lire l'histoire ici pour ceux qui lisent anglais. J'ai traduit une partie pour les autres:
"Quand elle est arrivé à Lagos, nous l'avons conduite dans un hôtel de Festac. Nous pensions qu'elle avait beaucoup d'argent, mais elle nous a dit qu'elle n'avait rien. Nous avons mis des comprimés de Reflon dans sa boisson. Après cela, nous avons couché avec elle pendant 12 heures dans cet hôtel. Nous avons découvert que les tablettes ne fonctionnaient pas rapidement sur elle. Nous l'avons alors attaqué, attaché et couvert sa bouche. Après quoi nous l'avons battu pour qu'elle nous dise où elle avait caché son argent. Quand nous n'avons pas pu avoir d'argent, nous lui avons attaché la bouche. Nous l'avons étranglée puis abandonné dans cet hôtel et nous nous sommes enfuis."
L'histoire s'est passée au Nigéria à la fin du mois de juillet 2012. La jeune diplômée de l'université de l'état de Nasarawa, Cynthia Udoka Osokogu, 24 ans, vivant à Abuja, décide de se rendre à Lagos. Elle possède un commerce de vêtements et souhaite se ravitailler dans cette ville. Ses contacts là-bas? Deux étudiants rencontrés sur Facebook, avec qui elle tisse une amitié au fil de plusieurs mois d'échanges. Elle prend son billet d'avion et les rejoint confiante, car ils ont promis de l'héberger.
"Quand elle est arrivé à Lagos, nous l'avons conduite dans un hôtel de Festac. Nous pensions qu'elle avait beaucoup d'argent, mais elle nous a dit qu'elle n'avait rien. Nous avons mis des comprimés de Reflon dans sa boisson. Après cela, nous avons couché avec elle pendant 12 heures dans cet hôtel. Nous avons découvert que les tablettes ne fonctionnaient pas rapidement sur elle. Nous l'avons alors attaqué, attaché et couvert sa bouche. Après quoi nous l'avons battu pour qu'elle nous dise où elle avait caché son argent. Quand nous n'avons pas pu avoir d'argent, nous lui avons attaché la bouche. Nous l'avons étranglée puis abandonné dans cet hôtel et nous nous sommes enfuis."
L'histoire s'est passée au Nigéria à la fin du mois de juillet 2012. La jeune diplômée de l'université de l'état de Nasarawa, Cynthia Udoka Osokogu, 24 ans, vivant à Abuja, décide de se rendre à Lagos. Elle possède un commerce de vêtements et souhaite se ravitailler dans cette ville. Ses contacts là-bas? Deux étudiants rencontrés sur Facebook, avec qui elle tisse une amitié au fil de plusieurs mois d'échanges. Elle prend son billet d'avion et les rejoint confiante, car ils ont promis de l'héberger.
Malheureusement elle s'envole vers la mort. Très vite plus personne n'a de ses nouvelles. Les avis de recherches se multiplient. La mobilisation prend forme. Mais Cynthia est morte depuis longtemps. Le jour même de son arrivée, ses deux "amis" la conduisent dans un hôtel, la droguent, lui volent tout son argent et l'étranglent.
N'ayant plus aucun papier sur elle, le personnel de l'hôtel ne peut l'identifier et laisse le corps à la morgue. C'est là qu'elle a été découverte il y a quelques jours après une enquête qui a aussi permis d'arrêter les deux meurtriers et plusieurs complices. Cynthia est leur 6e victime.
Quand l'histoire derrière cette mort a été divulguée, plusieurs commentaires désobligeants ont été fait sur la victime.
"Elle est stupide. Comment elle a pu être aussi imprudente ?"
"C'est sans doute une prostituée qui est tombée sur de mauvais clients. Aucune fille bien ne peut se rendre dans une autre ville en espérant se faire loger par de parfaits inconnus".
En réalité, cela pouvait arriver à chacun d'entre nous. Nous qui passons la majeure partie de nos journées sur internet, qui expérimentons "la magie" des réseaux sociaux, qui nous sentons parfois plus proches de nos amis virtuels que de ceux que nous côtoyons, nous sommes aussi exposés.
Avant, je refusais systématiquement tout rendez-vous avec des personnes rencontrées sur le net, à moins que l'on ait des amis "physiques" et non virtuels en commun.
Mais il est arrivé que l'on me sollicite pour des travaux. J'ai rencontré des inconnus notoires dans des restaurants pour parler affaire. J'ai même fait une dédicace dans une ville où je ne connaissais personne d'autres que des gens rencontrés sur internet.
Au lieu de jeter la pierre, prenons conscience de la fragilité de nos acquis, de la précarité de notre confort. Quelques échanges ne signifient rien. Prenons nos précautions. Soyons prudents. Informons nos proches sur les lieux où nous allons et avec qui.
Cynthia était la seule fille et le dernier enfant du Général Major Osokogu.
Terrible....
RépondreSupprimerc terrible comen des hommes peuvent ils faire du mal a une fill innocente cela nous servira de leçon nous autre
Supprimerles auraient du dire le nom de ses personnes là,car c est la vie de bocou des gens qui sont en jeu,elle,ils l ont eu ,mais et les autres et aussi leur complices,peut etre qu ils sont parmis nos amis ,on sait jamais
SupprimerC'est vraiment triste cette histoire. Ce n'est en aucun moment sa faute. elle a cru à la bonté de personne rencontré sur facebook avec qui elle a tissé un lien. Ces personnes ont du la mettre en confiance avec de belles paroles et elle est partie vers une mort. Que son ame repose en paix et que ceux ci soit punis de la plus sévère manière sur terre et au ciel.
RépondreSupprimersa cé tres dangereux surtou ke de ns jour on es tous sur face ; sa ce drague ce donne dé rendé vs ;des amitié ce lie putain dsl pou cé parent
RépondreSupprimerPaix à son âme! vraiment un peu de prudence dans nos "échanges amicaux" sur la toile!
RépondreSupprimernon beaucoup de prudence même si vous avez des contacts en commun et physiquement aussi
Supprimeréh ki allai voir des amis o togo ce week end! oufffffff MERCI SEIGNEUR
RépondreSupprimerEh, on t'a pas dit qu'on fait ca au Togo. Il faut prendre surement des précautions, dans la vraie vie même il y a des salauds comme ceux-là. Mais laisse mon pays tranquille... Merci
Supprimerje ne saais pas pourquoi tu le prends de cette maniere il n'accuse pas ton pays le togo il aurai pu dire en cote d'ivoire ou au benin mais ca ne veut pas dire forcement que toutes les personnes qui y vivent sont des brutes comme les assassins de Cynthia c'est arrivé et c'est vraiment domage
Supprimeroh my God! i dey so...angry! weytin' dey do dat? em go be killed! i de sure n its clear! RIP naija sista!
RépondreSupprimerTriste la vie, cequi devait arriver est arrivé. Ça m'empêchera pas de rencontrer des amis virtuels. Notre sort est reservé à Dieu.
RépondreSupprimerOh oh que c'est vraiment triste,elle a fait confiance aux gens et en retour c'est la mort qu'elle a gagnée.Que son âme soit libérée...
RépondreSupprimerpfffffffffffffffffff c'est pathétique pOur l'Afrique et pOur ses cOupables, je crOis que la prisOn n'aura pas sa place là mqis plutOt la mOrt par etranglement esgalement
RépondreSupprimerOui c'est vraiment pathétique et dommage , mais tu sais il n'y a pas qu'on Afrique où tu retrouves des situations similaire.
SupprimerQue Dieu ai son âme!
Triste réalité! C'est vraiment pathétique.
RépondreSupprimermais décidément c monde est devenu cruel pffffff
RépondreSupprimerj'ai ma dose de terreur pour cette journée!
merci pour l'appel à la prudence et à la vigilance!
sui depassée!vrmt triste!!
RépondreSupprimerJe n'y crois pas trop à cette histoire... Juste peut être un moyen de nous faire prendre conscience du temps que nous passons devant les réseaux sociaux.
RépondreSupprimerIl y a tellement de belles rencontres qui s'y font...
si l'histoire est bien réelle, elle n'a juste pas eu de chance...
Profitez de la vie.
Crois le ou non cher anonyme cela n'engage que toi mais pardon sois prudent ! Que Dieu nous garde !
SupprimerN'oublions pas: sur internet, tout n'est pas "net".
RépondreSupprimerOn a tellement de gens qu'on cotoie et dont on se mefie comme de la peste! Pourquoi donc faire confiance a des inconnus? Je ne comprends pas cette naivete.
RépondreSupprimerUne histoire qui donne froid dans le dos!
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